SEPT-DEC 2018
JULY 2018
FR
ZAAD étend ses expositions-événements "6à9" d'un atiste-un soir en une exposition collective hors-ses-murs.
11 artistes ayant présenté leur travail une saison précédente se retrouvent pour 11 jours d'exposition collective et d'événements à la salle Mably de 10à 19h.
Agenda
samedi 21 : rencontre avec Lucie Bayens
dimanche 22 : rencontre avec Sophie Mouron,
+ visite-conversation avec Nicolas Bulf (Association Tout Art Faire) à 16h
+ Vernissage à 17h30
lundi 23 : rencontre avec Sébastien Chevalier
+ atelier d'écriture avec Valérie Champigny 17h30-19h
mardi 24 : rencontre avec Agnès Torres
mercredi 25 : rencontre avec Claire Paries
+ atelier d'écriture avec Valérie Champigny 17h30-19h
jeudi 26 : rencontre avec Siona Brotman
+ conversation en anglais autour des oeuvres avec Jose Rodriguez
vendredi 27 : rencontre avec Pierre Touron
+ performance à 18h
samedi 28 : rencontre avec Pascal Ruetsch
+ atelier d'écriture avec Valérie Champigny 17h30-19h
dimanche 29 : rencontre avec Anne-Laure Boyer
lundi 30: rencontre avec Valérie Champigny
+ restitution de l'atelier d'écriture à 18h
mardi 31 : rencontre avec Alice Raymond
+infos zaad.fr
Plusieurs sont actifs dans la valorisation des arts visuels en plus de leur pratique:
à Saint Loubès avec les ateliers du Prieuré, à Bordeaux avec Diffractis, Double 8, le collectif 0-100, et Mutuum et Tout Art Faire en Nouvelle-Aquitaine.
http://ateliersprieure.eklablog.com/
http://diffractis.fr/
http://www.associationdouble8.com/
http://collectifzerocent.blogspot.fr/
http://mutuum.fr/
http://toutartfaire.com/
inscription atelier d'écriture: https://www.facebook.com/events/1109662465851659/
Retrouvez les sites des artistes ici
Retrouvez le programme complet ici
http://ateliersprieure.eklablog.com/
http://mutuum.fr/
Find artists websites here
Find the full programm here
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AOUT 2017
FR EN Trajectoire à l'air libre Open air trajectory
Une exposition de Valérie Champigny An exhibition by Valérie Champigny
Jeudi 31 aout de 18 à 21h Thursday, August 31st, 6-9pm
16 rue Beyssac, Bordeaux 16 rue Beyssac, Bordeaux, France
FR
Valérie Champigny is a visual artist, graduated from the Bordeaux School of Fine Arts (DNSEP 1996). She works on the roads and in her studio in the South Gironde.
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JUILLET 2017
FR EN Une exposition de Tommy Vissenberg An exhibition by Tommy Vissenberg
Lundi 24 juillet de 18 à 21h Monday, July 24th, 6-9pm
16 rue Beyssac, Bordeaux 16 rue Beyssac, Bordeaux, France
FR
______________________________________________________________________
JUILLET 2017
Puis cette idée du « temps » passant en quelques sortes au premier plan, le médium photographique s’est imposé. (Quoique chacune des photographies qui composent mes travaux soit simplement pour moi une composition, en l’occurrence photographiée.)
Tout ça a peu à peu pris une tournure plus contemplative et plus méditative, avec une prédilection toujours pour l’incertain, l’entre-deux, pour le silence ou le murmure. Parce que, interrogeant perpétuellement la réalité, je ne veux pas donner à voir l’image telle qu’elle ferait écran mais plutôt telle un miroir et parce que, plus qu’à dire ou montrer, je cherche à soulever et déplacer, à dé-caler et dé-poser.
AOUT 2015
Agnès Torres lives and works in Bordeaux.
______________________________________________________________________ AOUT 2015
ZAAD est
heureuse d’annoncer 6à9 ZAAD: Aurélie Martinez
______________________________________________________________________ AOUT 2015
ZAAD
est heureuse d’annoncer
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ZAAD à S13
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une série d’expositions à Sortie 13
Claire Paries + Aurélie Martinez
14 septembre - 4 octobre
Lucie Bayens + Guests
5-25 octobre
Valérie Champigny + Sophie Mouron + Pierre Touron
26 octobre - 15 novembre
Pascal Ruetsch + Sébastien Chevalier
16 novembre - 4 décembre
vernissages le premier jour de chaque exposition, 18h
Sortie 13, rue Walter Scott, 33600 Pessac
Tram B Arrêt France Alouette
Bus 4/44 Arrêt Xavier Arnozan
Gare SNCF Pessac Alouette
Rocade Sortie 13, Parking gratuit
Claire Paries est peintre. Elle a également créé la série des livres de Nino, "un livre pour enfant par an qui a trait à quelque chose de l’art”.
Elle présente à Sortie 13 un ensemble d’oeuvres réalisées à partir d’un album photographique abandonné. Une ré-invention, une main mise sur sa petite histoire si ordinaire portée par l’ombre des encres.
Pour en savoir plus http://www.claire-paries.fr
Aurélie Martinez est à la fois chercheuse en théorie de l’art et artiste plasticienne. Elle présente à Sortie 13 des séries "basées sur une dématérialisation de la chair dont elle efface, l’une après l’autre, les couches, change notre perception de l’identité corporelle pour en dépasser les limites.” Pour en savoir plus http://aureliemartinezgalerie.fr
Valérie Champigny est plasticienne, diplômée de l’École des Beaux arts de Bordeaux (DNSEP 1996). Elle travaille sur les routes et dans son atelier du Sud-Gironde.
Elle développe, par une pratique photographique documentaire, une manière de «documenter» son environnement géographique et humain au quotidien tout en y insérant une forme fictionnée puisque la représentation du réel à travers l’espace capturé est déjà, par essence, scénarisée. Valérie Champigny aborde les territoires qu’elle traverse de manière sensible à la rencontre de « présences ».
https://valeriechampigny.com/
Sophie Mouron aborde dans mes travaux l'image et l'espace dans leurs dimensions – ou plutôt leur perception – psychique, symbolique, culturelle, politique, sociale…
"Je relève de l'infra-perceptible, et souvent des passages plutôt que des états, comme les signes d'un possible... pour qui choisit de voir."
http://sophiemouron.com/
Peintre parfois, dessinateur le plus souvent, papiers et collages constituent depuis longtemps, la «matière première» du travail de Pierre Touron.
"Libre de ne rien avoir à dire, je devine peu à peu, un champ poétique qui m'invite au dépouillement. En rêveur éveillé, je passe de l’autre côté du miroir, au-delà de ce «qui va se soi». Territoire de silence, où les contours du réel se fondent avec ceux du songe... à moins que ce ne soit l’inverse."
http://touron-peintre.fr/
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Lucie Bayens est plasticienne. Elle réalise des objets à la jonction de nature et culture.
"Je suis très attachée à la transversalité des savoirs. Mon travail est marqué par l’évocation du besogneux. Je me sers du territoire comme d’une caisse de résonance. Je glane les infamies sur les rivages, dans la nature plus ou moins apprivoisée puis, j’agence des objets d’art en oxymore où les mots touchent la chair. Je fais vibrer les signes et tisse des liens à l’aide de techniques vernaculaires. Je transgresse la tradition du geste, ce qui donne une certaine ambivalence formelle à mon travail. Ces objets sont des acculturations qui tendent des ponts entre sauvage et civilisé pour mieux construire, tout contre le barbare." luciebayens.com
Valérie Champigny est plasticienne, diplômée de l’École des Beaux arts de Bordeaux (DNSEP 1996). Elle travaille sur les routes et dans son atelier du Sud-Gironde.
Elle développe, par une pratique photographique documentaire, une manière de «documenter» son environnement géographique et humain au quotidien tout en y insérant une forme fictionnée puisque la représentation du réel à travers l’espace capturé est déjà, par essence, scénarisée. Valérie Champigny aborde les territoires qu’elle traverse de manière sensible à la rencontre de « présences ».
https://valeriechampigny.com/
Sophie Mouron aborde dans mes travaux l'image et l'espace dans leurs dimensions – ou plutôt leur perception – psychique, symbolique, culturelle, politique, sociale…
"Je relève de l'infra-perceptible, et souvent des passages plutôt que des états, comme les signes d'un possible... pour qui choisit de voir."
http://sophiemouron.com/
Peintre parfois, dessinateur le plus souvent, papiers et collages constituent depuis longtemps, la «matière première» du travail de Pierre Touron.
"Libre de ne rien avoir à dire, je devine peu à peu, un champ poétique qui m'invite au dépouillement. En rêveur éveillé, je passe de l’autre côté du miroir, au-delà de ce «qui va se soi». Territoire de silence, où les contours du réel se fondent avec ceux du songe... à moins que ce ne soit l’inverse."
http://touron-peintre.fr/
Pascal Ruetsch
puise de la matière graphique dans les thématiques de la ville.
Architectures, plans urbains, lignes et foisonnements de traits, ses dessins de
villes imaginaires sont aussi des constructions et des jeux graphiques. Inspirées du
réel, parcourues de rues, de boulevards, de voies ferrées, les villes dessinées
ressemblent étrangement à des lieux que l'on croit connaître. Qu'ils soient de
styles anciens ou très contemporains, les monuments et les architectures qui
les composent sont toujours inventés. La vue du ciel, entre vue en plan et en
trois dimensions facilite la lecture des dessins et permet d'en apprécier les
détails. Semblable à une visite réelle on se perd dans les méandres des rues.
Depuis
le début des années 2000, Sébastien Chevalier travaille autour des
schèmes mentaux graphiques issus du monde de l’enfance. La maison, la
boucle, la robe sont autant de formes génériques faussement simples et
répétables à l’infini, définissant un vocabulaire plastique sans cesse
renouvelé et s’accordant comme des notes de musique à la question de la
couleur et de la matière picturale. Depuis plus de vingt ans, Sébastien
remplit des carnets où les écrits se mêlent aux dessins, jetés,
spontanés, parfois relevés à l’aquarelle ou “graissée” d’huile ou de
cire. Une tradition qu’il garde de son voyage initiatique à Florence.
JULY 2018
FR
Zone en déplacement
ZAAD étend ses expositions-événements "6à9" d'un atiste-un soir en une exposition collective hors-ses-murs.
11 artistes ayant présenté leur travail une saison précédente se retrouvent pour 11 jours d'exposition collective et d'événements à la salle Mably de 10à 19h.
Agenda
samedi 21 : rencontre avec Lucie Bayens
dimanche 22 : rencontre avec Sophie Mouron,
+ visite-conversation avec Nicolas Bulf (Association Tout Art Faire) à 16h
+ Vernissage à 17h30
lundi 23 : rencontre avec Sébastien Chevalier
+ atelier d'écriture avec Valérie Champigny 17h30-19h
mardi 24 : rencontre avec Agnès Torres
mercredi 25 : rencontre avec Claire Paries
+ atelier d'écriture avec Valérie Champigny 17h30-19h
jeudi 26 : rencontre avec Siona Brotman
+ conversation en anglais autour des oeuvres avec Jose Rodriguez
vendredi 27 : rencontre avec Pierre Touron
+ performance à 18h
samedi 28 : rencontre avec Pascal Ruetsch
+ atelier d'écriture avec Valérie Champigny 17h30-19h
dimanche 29 : rencontre avec Anne-Laure Boyer
lundi 30: rencontre avec Valérie Champigny
+ restitution de l'atelier d'écriture à 18h
mardi 31 : rencontre avec Alice Raymond
+infos zaad.fr
Plusieurs sont actifs dans la valorisation des arts visuels en plus de leur pratique:
à Saint Loubès avec les ateliers du Prieuré, à Bordeaux avec Diffractis, Double 8, le collectif 0-100, et Mutuum et Tout Art Faire en Nouvelle-Aquitaine.
http://ateliersprieure.eklablog.com/
http://diffractis.fr/
http://www.associationdouble8.com/
http://collectifzerocent.blogspot.fr/
http://mutuum.fr/
http://toutartfaire.com/
inscription atelier d'écriture: https://www.facebook.com/events/1109662465851659/
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EN
Moving area
ZAAD shows off-site with exhibition Zone en déplacement which features eleven artists based in South-West of France:
Lucie Bayens, Anne-Laure Boyer, Siona Brotman, Valérie Champigny, Sébastien Chevalier, Sophie Mouron, Claire Pariès, Alice Raymond, Pascal Ruetsch, Agnès Torres, Pierre Touron.
Their bold and unique practices diplay two or three
dimensional works and meet with notions such as environnment, habitat, memory, perception of places and architecture.
Several are active in visual arts promotion in addition to their practice though non profit associations: in Saint Loubès with ateliers du Prieuré, in Bordeaux with
Diffractis, atelier Le Citron, collectif 0-100, and Mutuum thoughout the région.
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AOUT 2017
ZAAD est
heureuse d’annoncer 6à9
ZAAD: Valérie Champigny
FR EN Trajectoire à l'air libre Open air trajectory
Une exposition de Valérie Champigny An exhibition by Valérie Champigny
Jeudi 31 aout de 18 à 21h Thursday, August 31st, 6-9pm
16 rue Beyssac, Bordeaux 16 rue Beyssac, Bordeaux, France
FR
Trajectoire à l’air libre
Valérie
Champigny est plasticienne, diplômée de l’École des Beaux arts de Bordeaux
(DNSEP 1996). Elle travaille sur les routes et dans son atelier du Sud-Gironde.
Elle
développe, par une pratique photographique documentaire, une manière de
«documenter» son environnement géographique et humain au quotidien tout en y
insérant une forme fictionnée puisque la représentation du réel à travers
l’espace capturé est déjà, par essence, scénarisée. Valérie Champigny aborde
les territoires qu’elle traverse de manière sensible à la rencontre de «
présences ».
« Savons-nous voir ? La série photographique
« Trajectoire à l’air libre » de Valérie Champigny contient
cette question en filigrane. Ses photographies nous interrogent sur une acuité
qui nous fait défaut – reconnaissons-le – en nous révélant ce à côté de quoi
nous passons avec indifférence, persuadés que rien de tout cela ne mérite un
regard. Elles donnent à reconsidérer le paysage familier d’un quotidien
ordinaire dont on ne soupçonne pas l’aptitude à nous toucher. Les tableaux
photographiques de Valérie Champigny ont ce curieux pouvoir de révéler la
beauté de l’insignifiance, de donner du charme au dérisoire, d’extraire d’une
monotonie apparente une lecture inédite et sensible. À une époque où l’image
doit fasciner, se faire saisissante par une surenchère d’effets ostentatoires,
on se surprend à rêver devant le degré zéro du spectaculaire, l’absence totale
d’artifice, devant une photogénie des lieux communs où affleure une poésie de
la modestie. Valérie Champigny arrête le temps et son objectif sur des bouts de
rien, des espaces sommaires, des non-événements, de vagues terrains où l’humain
est souvent absent ou en retrait, où la vie semble assoupie, flottante et
silencieuse, loin du tumulte et de la frénésie urbaine. On pense à certains
paysages d’Edward Hopper ou encore chez Jeff Wall, pris dans une torpeur
similaire ; mais ici la photographie restitue un monde en l’état, tel quel,
sans la distance que crée la peinture. À ses images, la
plasticienne ajoute des légendes descriptives ou encore en clins
d’œil, des commentaires amusés où pointe une ironie en douce, une fausse
candeur, une dérision tout en retenue qui nous dissuade de la prendre avec trop
de sérieux. Valérie Champigny zoome sur ses paysages tout en prenant du recul
avec ses mots. Un regard libre. » Denis Reynes
EN
Open air trajectory
Valérie Champigny is a visual artist, graduated from the Bordeaux School of Fine Arts (DNSEP 1996). She works on the roads and in her studio in the South Gironde.
She develops,
through a documentary photographic practice, a way of "documenting"
its geographical and human environment on a daily basis, while inserting a
fictional form in it, since the representation of the real through the captured
space is already, in essence, scripted. Valérie Champigny approaches the
territories she crosses in a sensitive way to the meeting of
"presences".
"Do we know how to see?" The photographic series "Open air trajectory" by Valérie Champigny contains this question in filigree. Her photographs ask us about an acuteness that we lack - let us recognize it - by revealing to us what we are passing with indifference, convinced that none of this deserves a look. They make it possible to reconsider the familiar landscape of an ordinary daily life, which ability to touch us is not suspected. Valérie Champigny's photographic artwork have this curious power to reveal the beauty of insignificance, to give charm to the piddling, to extract from an apparent monotony an unprecedented and sensitive reading. At a time when the image must fascinate, to be seized by an outbidding of ostentatious effects, one is surprised to dream before the degree zero of the spectacular, the total absence of artifice, before a photogenic commonplaces where a poetry of modesty shows up. Valérie Champigny stops time and its objective on bits of nothing, of summary spaces, of non-events, of vague terrains where the human is often absent or withdrawn, where life seems to be drowsy, floating and silent, far from the tumult and urban frenzy. We think of some landscapes of Edward Hopper or even Jeff Wall, caught in a similar torpor; But here photography restores a world as it is, without the distance created by painting. In her images, the visual artist adds descriptive legends or winks, amused comments in which irony turns up on the quiet, a false candor, a derisive in restraint that discourage us from taking it too seriously. Valérie Champigny zooms on her landscapes while taking a step back with her words. A free look. » Denis Reynes
"Do we know how to see?" The photographic series "Open air trajectory" by Valérie Champigny contains this question in filigree. Her photographs ask us about an acuteness that we lack - let us recognize it - by revealing to us what we are passing with indifference, convinced that none of this deserves a look. They make it possible to reconsider the familiar landscape of an ordinary daily life, which ability to touch us is not suspected. Valérie Champigny's photographic artwork have this curious power to reveal the beauty of insignificance, to give charm to the piddling, to extract from an apparent monotony an unprecedented and sensitive reading. At a time when the image must fascinate, to be seized by an outbidding of ostentatious effects, one is surprised to dream before the degree zero of the spectacular, the total absence of artifice, before a photogenic commonplaces where a poetry of modesty shows up. Valérie Champigny stops time and its objective on bits of nothing, of summary spaces, of non-events, of vague terrains where the human is often absent or withdrawn, where life seems to be drowsy, floating and silent, far from the tumult and urban frenzy. We think of some landscapes of Edward Hopper or even Jeff Wall, caught in a similar torpor; But here photography restores a world as it is, without the distance created by painting. In her images, the visual artist adds descriptive legends or winks, amused comments in which irony turns up on the quiet, a false candor, a derisive in restraint that discourage us from taking it too seriously. Valérie Champigny zooms on her landscapes while taking a step back with her words. A free look. » Denis Reynes
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JUILLET 2017
ZAAD est
heureuse d’annoncer 6à9
ZAAD: Tommy Vissenberg
FR EN Une exposition de Tommy Vissenberg An exhibition by Tommy Vissenberg
Lundi 24 juillet de 18 à 21h Monday, July 24th, 6-9pm
16 rue Beyssac, Bordeaux 16 rue Beyssac, Bordeaux, France
Photos
d’atelier, juin 2017
Je trouve toujours un plaisir enfantin à être pris dans le
tourbillon des événements. Je bouge dans un très lent mouvement différé à
travers l’espace du papier / du volume. Chaque ombre projetée par ma main,
chaque point, chaque rebord, chaque couleur a un potentiel en devenir. Le
regard, le travail et moi ; comme si nous convergions ensemble.
Parler de l’action du regard et de ses rythmes. A propos du regard
qui donne plaisir sans raisons spécifiques et acère les autres sens. Un intense
parcours de regards joueurs, dans lesquels tout bouge dans ma direction et
repart en sens inverse, tout cela dans le même temps. Cela permet aux
composantes d’apparaître et de disparaître, rien n’est présent, et rien n’est
absent. Regarder, comme un enfant le fait, avec un intérêt urgent pour tout. Du
bleu à côté du vert, rapidement. Lentement. Couper, coller, rouge sur bleu,
blanc.
Je souhaiterais placer ceci à l’encontre des possibilités de la
céramique, sa lenteur, son incapacité à être directement visible, et par-dessus
toute sa plasticité. Connaître la forme au lieu de la voir, la nature fermée de
ces bordures. Là où le dessin ouvre par-dessus tout l’espace et ne prend pas
possession dans celui-ci. La forme plastique modèle l’espace. Cependant, il
permet par ce dernier une différence plus claire entre le blanc et le
non-blanc, entre le temps et l’espace. Il dit lui-même où il est et n’essaie
pas de me faire prendre position dans le travail. Il est finalement accessible,
depuis n’importe quel angle.
Il accepte l’entièreté du rythme survenant. Il est lent et je peux
le confronter avec mon regard; je peux le travailler, le colorer, l’arranger,
le retravailler, le recolorer et le réarranger. Le cuire et le recuire. Tout
cela avec la même importance, exacte. Sans jérémiade à propos d’où et vers quoi
aller, mais intrinsèquement. Il doit être pur et prêt, ouvert à tous, non
conforme, sans m'appartenir.
Å ZAAD je me reconfronte avec et restructure les ordres évidents
dans mon travail. Je propose de ne plus voir que la synthèse mais surtout le
montage.
Tommy Vissenberg vit et travaille à Bordeaux.
http://www.tommy-vissenberg.be/
EN
I always find it a childish pleasure to be caught up
in the whirlwind of events. I move in a very slow motion, delayed through the
space of the paper / of the volume. Each shadow projected by my hand, each
point, each flange, each color has a potential for becoming. The look, the work
and me; as if we were converging together.
Talk about the action of a gaze and its rhythms. About the look that gives pleasure without specific reasons and sharpens the other senses. An intense course of player glances, in which everything simultaneously moves in my direction and leaves in the opposite direction. This allows the components to appear and disappear, nothing is ever present, and nothing is ever missing. Watching, as a child does, with an urgent interest in everything. Blue next to green, quickly. Slowly. Cut, paste, red on blue, white.
I would like to place this in opposition to the possibilities of ceramics, its slowness, its inability to be directly observed, and above all its plasticity. Know the shape instead of seeing it, the closed nature of these borders. Where the drawing opens above all space and does not take possession in it. The physical shape models the space. However, it allows a clearer difference between white and non-white, between time and space. It says itself where it is and does not try to make me take a position on the work. Finally, it is accessible from any angle.
It accepts the entire rhythm that occurs. It is slow and I can confront it with my gaze; I can work, color, arrange, rework, recolor and rearrange. Cook and anneal. All this with the same importance, exact. Without any jeremiad about where to go and what to do, but intrinsically. It must be pure and ready, open to all, non-conforming, without belonging to me.
At ZAAD I confront again and restructure the obvious orders in my work. I propose to see not only the synthesis but especially the set up.
Talk about the action of a gaze and its rhythms. About the look that gives pleasure without specific reasons and sharpens the other senses. An intense course of player glances, in which everything simultaneously moves in my direction and leaves in the opposite direction. This allows the components to appear and disappear, nothing is ever present, and nothing is ever missing. Watching, as a child does, with an urgent interest in everything. Blue next to green, quickly. Slowly. Cut, paste, red on blue, white.
I would like to place this in opposition to the possibilities of ceramics, its slowness, its inability to be directly observed, and above all its plasticity. Know the shape instead of seeing it, the closed nature of these borders. Where the drawing opens above all space and does not take possession in it. The physical shape models the space. However, it allows a clearer difference between white and non-white, between time and space. It says itself where it is and does not try to make me take a position on the work. Finally, it is accessible from any angle.
It accepts the entire rhythm that occurs. It is slow and I can confront it with my gaze; I can work, color, arrange, rework, recolor and rearrange. Cook and anneal. All this with the same importance, exact. Without any jeremiad about where to go and what to do, but intrinsically. It must be pure and ready, open to all, non-conforming, without belonging to me.
At ZAAD I confront again and restructure the obvious orders in my work. I propose to see not only the synthesis but especially the set up.
Tommy Vissenberg lives and works in Bordeaux.
http://www.tommy-vissenberg.be/
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JUILLET 2017
ZAAD est
heureuse d’annoncer 6à9
ZAAD: Sophie Mouron
FR EN
Une exposition de Sophie Mouron An exhibition by Sophie Mouron
Jeudi 13 juillet de 18 à 21h Thursday, July 13th, 6-9pm
16 rue Beyssac, Bordeaux 16 rue Beyssac, Bordeaux, France
Une exposition de Sophie Mouron An exhibition by Sophie Mouron
Jeudi 13 juillet de 18 à 21h Thursday, July 13th, 6-9pm
16 rue Beyssac, Bordeaux 16 rue Beyssac, Bordeaux, France
Diptyque
photographique de la série "Une seconde avant... une seconde après"
FR
Mes premiers travaux, d’emblée, ont abordé le lieu d’exposition (et l’environnement) dans sa dimension – ou plutôt sa perception – psychique, symbolique, culturelle, politique, sociale…
Les dessins muraux explorent des notions et des rapports tels que intérieur/extérieur, sujet/objet, présence/absence, l’autre, le vide (dans ses acceptions occidentale et orientale) et les mécanismes (ou mécaniques) d’identification, de nomination, de reconnaissance et de conditionnement, d’adhésion et de sujétion etc. Le tout dans une sorte de jeu de miroir avec, figurant au second plan, le temps.
Le temps du regardeur… de l’exploration physique et mentale.
Mes premiers travaux, d’emblée, ont abordé le lieu d’exposition (et l’environnement) dans sa dimension – ou plutôt sa perception – psychique, symbolique, culturelle, politique, sociale…
Les dessins muraux explorent des notions et des rapports tels que intérieur/extérieur, sujet/objet, présence/absence, l’autre, le vide (dans ses acceptions occidentale et orientale) et les mécanismes (ou mécaniques) d’identification, de nomination, de reconnaissance et de conditionnement, d’adhésion et de sujétion etc. Le tout dans une sorte de jeu de miroir avec, figurant au second plan, le temps.
Le temps du regardeur… de l’exploration physique et mentale.
Puis cette idée du « temps » passant en quelques sortes au premier plan, le médium photographique s’est imposé. (Quoique chacune des photographies qui composent mes travaux soit simplement pour moi une composition, en l’occurrence photographiée.)
Comment questionner
le temps ? La mesure de tout mais, quelle mesure sinon celle de notre
existence, ici ? Quelle essence en deçà de la (les) pensée(s) du temps ?
Et puis donc… qu’est-ce que l’instant ? Qu’est-ce que le début et la fin ? Et quand est-ce ?
Qu’est-ce que l’état (qu’est-ce que la permanence) et qu’est-ce que le passage ? …
Et puis donc… qu’est-ce que l’instant ? Qu’est-ce que le début et la fin ? Et quand est-ce ?
Qu’est-ce que l’état (qu’est-ce que la permanence) et qu’est-ce que le passage ? …
Tout ça a peu à peu pris une tournure plus contemplative et plus méditative, avec une prédilection toujours pour l’incertain, l’entre-deux, pour le silence ou le murmure. Parce que, interrogeant perpétuellement la réalité, je ne veux pas donner à voir l’image telle qu’elle ferait écran mais plutôt telle un miroir et parce que, plus qu’à dire ou montrer, je cherche à soulever et déplacer, à dé-caler et dé-poser.
Sophie Mouron
Sophie Mouron vit et
travaille à Bordeaux.
Wall drawings explore notions and relationships such as interior / exterior, subject / object, presence / absence, the other, emptiness (in its Western and Eastern meanings) and mechanisms (or mechanics) of identification, nomination, recognition and conditioning, membership and subjection, etc. All in a kind of mirror game with time in the background.
It is the idea of "time" passing in a certain way in the foreground that the photographic medium has itself imposed. (Although each of the photographs that compose my work is simply, for me, a composition, merely photographed in this case.)
How does one question time? The measure of everything but what, if not that of our existence, here? What is the essence of the thought(s) of time?
______________________________________________________________________
EN
My first work, from the outset, addressed the place of
exhibition (and the environment) in its dimension - or rather its perception -
psychic, symbolic, cultural, political, social ...
Wall drawings explore notions and relationships such as interior / exterior, subject / object, presence / absence, the other, emptiness (in its Western and Eastern meanings) and mechanisms (or mechanics) of identification, nomination, recognition and conditioning, membership and subjection, etc. All in a kind of mirror game with time in the background.
The time of the viewer ... of physical and mental
exploration.
It is the idea of "time" passing in a certain way in the foreground that the photographic medium has itself imposed. (Although each of the photographs that compose my work is simply, for me, a composition, merely photographed in this case.)
How does one question time? The measure of everything but what, if not that of our existence, here? What is the essence of the thought(s) of time?
And then ... what is the moment? What is the beginning and the end? And when is
it?
What is the state (what is permanence) and what is the
passage? ...
All this has gradually assumed a more contemplative and more meditative turn, with a constant predilection for the uncertain, the in-between, for the silence or the murmur. Because I perpetually question reality, I do not want to present the image as if it were a screen, rather as if it were a mirror. Instead of saying or showing, I try to lift and move, to un-stuck and re-moved.
All this has gradually assumed a more contemplative and more meditative turn, with a constant predilection for the uncertain, the in-between, for the silence or the murmur. Because I perpetually question reality, I do not want to present the image as if it were a screen, rather as if it were a mirror. Instead of saying or showing, I try to lift and move, to un-stuck and re-moved.
Sophie Mouron lives and works in Bordeaux.
AOUT 2015
ZAAD est
heureuse d’annoncer 6à9 ZAAD: Agnès Torres
FR EN
Rouge Rouge (Red)
Une exposition de Agnès Torres An exhibition by Agnès Torres
Jeudi 20 août de 18 à 21h Thursday August 20th, 6-9pm
16 rue Beyssac, Bordeaux 16 rue
Beyssac, Bordeaux, France
FR
ROUGE
"Rouge sang, rouge tomate, rouge poisson, rouge citron, rouge
marine, rouge d'encre, rouge ciel, rouge vermillon, rouge turquoise, rouge
carmin, rouge Véronèse, rouge de Prusse, rouge de mars, rouge tête morte, rouge
de titane, rouge indien, rouge d'ivoire, rouge permanent, rouge de chrome,
rouge anglais, rouge de fumée, rouge outremer, rouge cinabre, rouge souris,
rouge de cobalt, rouge carmin, rouge de chine, rouge pétrole, rouge de Payne… Pourquoi
rouge? Et pourquoi pas? Plutôt que "peinture rouge, peinture bleue,
peinture verte, etc.", ce sera rouge. Peut-être parce que c'est la
première couleur que je vois avant d'ouvrir les yeux."
Agnès Torres vit et travaille à Bordeaux.
EN
ROUGE
"Bloody red,
tomato red, fish red, lemon red, navy red, ink red, sky red, vermilion red,
turquoise red, crimson, Veronese red, Prussian red, red of March, dead head red,
red titanium, Indian red, ivory, permanent red, chrome red, English red, smoke
red, ultramarine red, cinnabar red, mouse red, cobalt red, Carmine red, Chinese
red, oil red, Payne red ... Why red? Why not? Rather than "red paint, blue
paint, green paint, etc.", it will be
red. Perhaps because it is the first color that I see before opening the eyes.
"
Agnès Torres lives and works in Bordeaux.
______________________________________________________________________ AOUT 2015
FR EN
Une exposition d’Aurélie Martinez An exhibition by Aurélie
Martinez
Lundi 10 août de 18 à 21h Monday August 10th, 6-9pm
FR
Aurélie Martinez oriente sa pratique
plastique autour du corps. Sa passion pour l'anatomie humaine, interne puis externe, a orienté sa
thèse en arts plastiques vers l’étude des malformations physiques et les corps
présentant une unité duelle identitaire: les frères siamois liés par la chair
et les organes, les hermaphrodites qui ne sont ni homme ni femme mais les deux
à la fois.
Après avoir exploré l'adiposité du corps
et l'affaissement de sa chair, la performance est apparue avec l’intérêt pour la danse Buto : figer le
temps en photographiant la lenteur des mouvements du danseur. Le corps nu est recouvert d'une fine couche
de blanc. Il exprime l'intériorité des sentiments. Quand il souffre, ses
attitudes, ses gestes se crispent. Il grimace. Ses membres, ses poignets et ses
pieds se tordent. Les déplacements se font saccadés. Le danseur oscille entre
le monde des morts et des vivants. La blancheur de son corps le rend peu à peu immatériel. Aurélie Martinez travaille désormais sur cet
effacement de la chair au profit de la lumière.
EN
Aurélie Martinez’s practice focuses
on the body. Her passion for human anatomy, internal and external, has oriented
her thesis in visual arts to the study of physical deformities and bodies with
a dual identity: Siamese twins linked by flesh and organs, hermaphrodites that
are neither male nor female but both at once.
After exploring the body’s adiposity and sagging flesh, the
performance emerges with an interest in Buto dance: freeze time by
photographing the slow movements of the dancer. The naked body is covered with
a thin layer of white paint. It expresses inner feelings. When it suffers, its
attitudes, its gestures are clenched. It grimaces. Its members, its wrists and
feet are twisted. Movements are jerky. The dancer oscillates between the world
of the dead and the living. The whiteness of the body gradually becomes
intangible. Aurélie Martinez is now working on the obliteration of the flesh in favor of light.
______________________________________________________________________ AOUT 2015
ZAAD est
heureuse d’annoncer 6à9 ZAAD: Claire Pariès
https://www.facebook.com/zaad.fr zaad.fr http://www.claire-paries.fr/
FR EN
Paysages d’ici Landscapes from
here
Une exposition de Claire Pariès
An exhibition by Claire Pariès
Mercredi 5 août de 18 à 21h Wednesday August 5th, 6-9pm
FR
PAYSAGES D’ICI
ICI se résume à deux étendues fluides, ciel et eau qui font
masses.
Y interfèrent : végétation des deux rives, des îles, une avancée
d’architecture industrielle, le Bec comme partage des eaux.
ICI les configurations lumineuses se renouvellent tous les jours
redistribuant les proches et les lointains.
ICI a longtemps intimidé le peintre accaparée par le regard noyé dans
l’ampleur de l’espace.
Habiter l’Estuaire de la
Gironde c’est en vivre le paysage intensément, quotidiennement.
Vouloir
le peindre aura d’abord nécessité des promenades pour une mémoire approximative
par la photographie. Un retour à l’atelier, un tourner le dos aux fenêtres qui
ouvrent sur les eaux, puis opter pour le moyen le plus modeste, les crayons de
couleur et pour un petit format afin de mieux se concentrer.
Puis tenter l’aventure
en peinture qui dit papier, eau, pigments colorés et pinceaux. Là, passer au
grand format qui au départ s’appuie sur le petit dessin coloré, très vite
oublié une fois pris les premiers repères.
Si
peindre le paysage a longtemps été une activité de plein air, de balade, de
détente il fallait un jour s’y attaquer de front. C’est ici et maintenant. Le
travail est en cours, il se poursuit.
Claire Paries.
EN
LANDSCAPES FROM
HERE
HERE comes down to two fluids widespread, sky and water that make masses.
THERE interfere:
vegetation on both shores, islands, a growing industrial architecture, the Bec as
watershed.
HERE light configurations are renewed daily redistributing near and distant.
HERE light configurations are renewed daily redistributing near and distant.
HERE has long
intimidated the painter captured by the gaze lost in the magnitude of the
space.
Inhabiting the
Gironde estuary means living its landscape intensely, daily.
Wanting to paint
it will first need rides for an approximate memory through photography. A
return to the studio, a turn away from windows that open to the waters, and
then choose the most modest means, color pencils and a small format to focus
better.
Then try the painting
adventure that says paper, water, color pigments and brushes. There, to go for
large format which initially relies on the small colored drawing, quickly
forgotten once took the first markers.
If painting the
landscape has long been an outdoor activity, as walking, relaxing; it was one
day be tackled head on. It is here and now. Work is in progress, it continues.
Claire Paries.
______________________________________________________________________ JUILLET 2015
ZAAD est
heureuse d’annoncer 6à9
ZAAD: Anne-Laure Boyer
https://www.facebook.com/zaad.fr zaad.fr www.annelaureboyer.com
FR EN
Des châteaux de cartons
Castels in cardboard boxes
Une proposition d’Anne-Laure Boyer
A proposal by Anne-Laure Boyer
Jeudi 30 juillet de 18 à 22h Thursday July 30th, 6-10pm
FR
Anne-Laure Boyer
travaille sur la mémoire des lieux et des personnes qui les traversent.
Pour ZAAD, elle
transformera l'espace en cinéma de poche, pour y présenter un film « Des
châteaux de cartons », réalisé en 2014 à Ribérac, en résidence de création. Le
film sera projeté en boucle au sein d'une installation faite de casiers,
tiroirs et diverses boîtes contenant des mots, des objets et des images.
Séances à 18h15, 19h45,
21h15.
En résonance avec son
film, Anne-Laure Boyer propose pendant toute la soirée « Le grand jeu du
Destin » !
Venez avec un objet dont
vous voulez vous séparer, pour l’échanger avec un autre objet que vous tirerez
au sort.
« Pendant cette résidence à Ribérac, j'ai
cherché des gens qui ont la capacité de créer ou recréer des mondes, des
collectionneurs, généalogistes, archivistes ou bricoleurs. Je voulais voir les
lieux qu'ils aiment, les endroits où ils travaillent, là où ils stockent leurs
trésors. Et on m'a ouvert tout un tas de portes, des coffres, des greniers, des
granges… J'ai visité aussi des entrepôts, des plateformes de tri, jusqu'au
centre d'enfouissement des déchets ultimes. Autant de lieux d'attente, des espace-temps
intermédiaires que j'ai connecté les uns aux autres pour remonter la chaîne du
temps. Je voulais voir comment le temps déplace les objets, et les histoires
s'imbriquent, là où des passages secrets viennent perturber les apparences d'un
temps linéaire. »
EN
Anne-Laure
Boyer works on the memory of places and people crossing them.
For
ZAAD, she will turn the space into a mini movie theater to present her film
" Des châteaux de cartons" (Castles in Cardboard Boxes), produced in
2014 during an artist residency in Ribérac. The film will be looped in an
installation made of lockers, drawers and various boxes containing words,
objects and pictures.
Screenings
times: 6.15, 7:45, 9:15 pm.
In
resonance with her film, Anne-Laure Boyer proposes throughout the evening “Le
grand jeu du Destin”! (The great Game of Destiny).
Please
join us with an object that you want to get rid of, to exchange with another
item that to get in a draw of lot.
"During this residence in Ribérac, I looked
for people who have the ability to create or recreate worlds, collectors,
genealogists, archivists or handymen. I wanted to see the places they like,
where they work, where they store their treasures. And plenty of doors were
opened for me, chests, attics, barns ... I also visited warehouses, sorting
platforms, and landfill of final waste. So many waiting areas, intermediate
space-time I connected to each other to move up the chain of time. I wanted to
see how time moves objects, and stories overlap, where secret passages disrupt
the appearance of a linear time. "
______________________________________________________________________ JUILLET 2015
ZAAD est
heureuse d’annoncer 6à9
ZAAD: Lucie Bayens
https://www.facebook.com/zaad.fr zaad.fr http://luciebayens.com/
FR EN
Marge au centre
Margin in center
Une exposition de Lucie Bayens
An exhibition by Lucie Bayens
Mercredi 22 juillet de 18 à 21h Wednesday,
July 22th, 6-9pm
16 rue Beyssac, 33000 Bordeaux 16 rue Beyssac, Bordeaux, France
FR
Marge au
centre
Artiste plasticienne,
je me sers du territoire comme caisse de résonance.
Je glane les infamies
sur les rivages puis, agence des objets d’art en oxymore où les mots touchent
la chair.
Je fais vibrer les
signes et tisse des liens à l’aide de techniques vernaculaires.
Je transgresse la
tradition du geste ce qui donne une certaine ambivalence à mon travail. Ces
objets sont des acculturations qui tendent des ponts entre sauvage et civilisé
pour mieux construire, tout contre le barbare.
Lucie Bayens vit et travaille à Bordeaux.
EN
Margin in center
As a visual artist, I use the territory as a sounding box.
I glean the infamies on the shores then, match art objects in oxymoron which words affect the flesh.
I vibrate the
signs and create links using
vernacular techniques.
I break the tradition of the gesture which gives a certain ambivalence in my work. These objects
are acculturations stretching
bridges between wild and civilized to build better,
all against the
barbarian.
Lucie Bayens lives and works in Bordeaux.
Lucie Bayens lives and works in Bordeaux.
ZAAD est
heureuse d’annoncer 6à9
ZAAD: Siona Brotman
https://www.facebook.com/zaad.fr zaad.fr http://brotmansiona.free.fr/
https://www.facebook.com/zaad.fr zaad.fr http://brotmansiona.free.fr/
FR EN
S’arrêter un instant… (Stop
for a moment…)
Une exposition de Siona Brotman An exhibition by Siona Brotman
Mercredi 8 juillet de 18 à 21h Wednesday, July 8th, 6-9pm
16 rue Beyssac, 33000 Bordeaux 16 rue Beyssac, Bordeaux, France
Un moment, huile sur toile,
120cm x 100cm
FR
S’arrêter
un instant…
Des peintures, des dessins et des films
d’animation.
Des sortes de dessins animés,
Des images éphémères,
Gommer pour avancer,
Le temps qui se déroule dans l’espace.
Après son exposition Se souvenir de demain,
Siona Brotman choisit de S’arrêter un instant dans l’espace de ZAAD, en
une “boucle temporelle”.
“C’est
peut-être un peu vain, comme vider un bateau qui prend l’eau avec un verre.
Liquide:
la plupart des choses que je fais ont quelque chose de liquide, même dans mes
peintures (la matière est fluide, de plus en plus légère).
Quand je
dessine, la matière est légère et cependant le procédé des dessins aux crayons
de couleur donne une matérialité à l’air, aux mouvements, aux déplacements.
Linéaire:
je suis toujours intéressée par la représentation du temps. Elle n’est pas
toujours linéaire évidemment. S’arrêter un instant, c’est regarder vraiment,
c’est être vraiment là.
Je
raconte ma vie, depuis toujours.
Joie,
tristesse et conscience.”
Siona Brotman vit et travaille en Gironde.
EN
Stop for a
moment...
Paintings, drawings and animated films
Kinds of cartoons
Fleeting images,
Erase to go forward.
The time that takes place in space.
After her show Se souvenir de demain (Remember tomorrow), Siona Brotman chooses to Stop for a moment in ZAAD’s space, into a "time loop".
"That may be a little vain, like emptying a boat taking in water with a glass.
Liquid: most
things I do have something liquid, even in my paintings (the material is fluid,
lighter and lighter).
When I draw, the material is light and yet the drawing process with colored pencil gives a materiality to the air, to movements, to travels.
When I draw, the material is light and yet the drawing process with colored pencil gives a materiality to the air, to movements, to travels.
Linear: I'm
always interested in the representation of time. It is not always linear, of
course. Stop for a moment; it's looking for good, being really there.
I’ve been
telling my life, since ever.
Joy, sadness
and conscience. "
Siona Brotman lives and works in Gironde.
ZAAD est heureuse d’annoncer 6à9 ZAAD: Pierre Touron
FR
EN
Exposition de Pierre Touron Exhibition by Pierre Touron
Mardi 23 juin de 18 à 21h Tuesday,
June 23th, 6-9pm
16 rue Beyssac, 33000 Bordeaux
« -
La petite maison dans la prairie.
Posée
sur une prairie fleurie: une maison/ rêve, maison/ ciel ou ciel/ maison.
Un
ciel à hauteur d’hommes (titre d’un recueil de poésies de Georges Bonnet).
Image
kitsch d’un monde fragile, tout en transparence, à peine agité par la présence
d’un homme, perdu dans ses pensées. Nous le savons, l’homme descend du songe…
Au
dessus du toit de la maison bleue (dont j’ai jeté la clé), un chien, peut-être
un loup, apparait ou s’efface, comme le chat du Cheshire de Lewis Carroll.
Ici,
la magie du silence opère encore. »
Pierre Touron vit et
travaille à Bordeaux.
EN
“The little house
on the prairie.
Placed on a flowery
meadow: a house/dream, house/heaven
or sky/house.
A sky height
of men (title of a collection of poetry of Georges Bonnet).
Kitsch image
of a fragile world, while transparent, barely disturbed by the presence of a man, lost
in thought. We know that, man
desceded from moon...
Above the roof
of the blue house (which I
have thrown away the key), a dog, perhaps a wolf appears or
fades like the
Cheshire Cat in Lewis Carroll.
Here the
magic of silence still operates.”
Pierre Touron lives and works in Bordeaux.
______________________________________________________________________ AOUT 2014
ZAAD est heureuse d’annoncer 6à9 ZAAD:
Alexandre Roudeix
FR EN
Les Gardiens The Guardians
une exposition de an exhibition by Alexandre Roudeix
samedi 23 août de 18 à 21h Saturday, August
23rd, 6-9pm
J'utilise comme matière première des
images de presse. Elles sont prélevées dans un journal dont le papier est d'une
facture particulièrement stable. Je les sélectionne non pour leur composition
visuelle ou leur esthétisme mais pour leur sujet. La structure du journal
rythmée par l'organisation immuable des rubriques reflète tant et plus. Je
colore les images, les corps, les formes, les paysages et les architectures. Ce
papier si spécial refuse la couleur qui se dépose comme des sédiments
incontrôlables. À la manière de la fabrication des icones je dore certaines
parties. Par ce procédé ces images banales acquièrent du caractère. Par mon
ornementation elles deviennent un autre territoire. Ce caractère est sublimé
par un encadrement d'un blanc immaculé, fait main. J'ajoute enfin un petit
personnage qui fixe la hauteur du point de vue.
I use press images as raw
material. They are clips from a newspaper which paper fabric is very
stable. I select them not for their visual composition or aesthetics but for
their topic. The structure of the newspaper, marked by the immutable
organization of topics, reflects over and over again. I color the pictures,
bodies, shapes, landscapes and architectures. This special paper rejects the
color that is layered as uncontrollable sediment. In the manner of
icons making I gild part of the image. By this method, banal pictures acquire
character. By my ornamentation, they become another territory. An unblemished
white handmade frame enhances this character. Finally I add a little figure
that sets the height of the viewpoint.
Alexandre Roudeix vit et travaille à Bordeaux/
lives and works in Bordeaux
________________________________________________________________________________________________
AOUT 2014
ZAAD est heureuse d’annoncer
6à9 ZAAD: Jonathan Hénault & Guillaume Trouillard
FR EN
Bijoux d’hiver en tenue d’été (Crown jewels in summer outfit)
une lecture de Jonathan Hénault a
lecture by Jonathan Hénault
une exposition de Guillaume Trouillard an exhibition by Guillaume Trouillard
jeudi 14 août de 18 à 21h Thursday, August 14th, 6-9pm
Ils se sont rencontrés sur une plage
d'Arcachon, au détour de la dune du Pyla. Ils se sont tout de suite plu, allez
savoir pourquoi, ils étaient si différents et à la fois si semblables, quelque
chose dans les yeux et surtout derrière la tête. Ils ont décidé qu'ils avaient peut-être
quelque chose à faire ensemble, et ce quelque chose s'est appelé les Bijoux
D'Hiver. Un drôle de nom pour un mariage de déraison des plus réussis entre
l'Hôtel de la Ville d'Hiver et les Editions Bijoux de Famille[1],
et du même coup le sous-titre d'un ouvrage collectif qui verra le jour en
juillet 2014. Quatre histoires courtes de quatre auteurs (Arnaud Cathrine,
Hervé Le Corre, Nathalie Bernard et Jonathan Hénault) réunis pour le meilleur
et pour le pire, quatre auteurs à contre-emploi qui, chacun à leur tour,
propose leur vision très personnelle de leur passage en Ville d'Hiver. Qui
sont-ils ? Que veulent-ils ? C'est quoi, leur problème ?
Jonathan Hénault et Guillaume Trouillard vivent et
travaillent à Bordeaux.
They met on a beach in
Arcachon, in the course of the
Dune du Pyla. They immediately liked each other, for some reason,
they were so different and yet so similar, something in the eyes and especially behind the head. They decided they might have something to do together, and this something was named Bijoux D'Hiver.
Funny name for a more successful marriage of unreason
between the Hotel de la Ville d'Hiver[1] and Editions Bijoux
de Famille2
, and thereby the subtitle of a collective work that was completed in July 2014. Four short stories of four authors (Arnaud Cathrine,
Hervé Le Corre, Nathalie Bernard and Jonathan Henault)
together for
better for worse, four authors playing against type, each of whom offers a very personal
vision of their passage in Ville d'Hiver. Who
are they? What do they want? What
is their problem?
Jonathan Hénault and Guillaume Trouillard live and work in Bordeaux.
[1] Winter
town, nickname for Arcachon city
2
Editions
Family Jewels, slang for “crown jewels”
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AOUT 2014
ZAAD est heureuse d’annoncer 6à9 ZAAD : Claude
Caillol
FR
EN
Libres égaux et fraternels Libres
égaux et fraternels
Exposition de Claude Caillol (Free
equal and fraternal)
Jeudi 7 août de 18 à 21h Exhibition by Claude Caillol
16 rue Beyssac, 33000 Bordeaux Thursday, August 7th,
6-9pm
FR (English follows)
Trois
fois par semaine pendant une heure j’ai six élèves. La semaine d’après j’en ai
six autres. Avec chaque nouveau groupe, avant d’entrer en classe on s’assoit
sur l’herbe et on parle.
Je
leur demande qui je suis
-
Un artiste
S’ils
connaissent différentes sortes d’artistes ?
-
Peintre, musicien, comédien, poète.
Et
qu’est-ce que l’on attend des artistes ?
Qu’est-ce
qu’on attend de ce que font les artistes ?
-
Que ce soit joli, que ça nous plaise.
On
peut attendre plus que ça
-
Que ça soit très beau, magnifique, extraordinaire, merveilleux.
Oui
c’est ça qu’on doit attendre des artistes que ça soit extraordinaire,
merveilleux.
Faites
le merveilleux
-
Houaaaa, houaaa.
Qu’est
ce qui vous émerveille vous. C’est quoi la dernière chose qui vous a
émerveillé ?
Les
bébés chats, ma Tati elle a eu un bébé, la grosse chenille, les fleurs, le
volcan, les poissons, les cadeaux.
Et
quand vous êtes amoureux vous n’êtes pas émerveillé ?
Hahaha,
oui
Allez
on refait le merveilleux
Houaaaa, houaaaaa.
Qu’est-ce
qu’il y a dans le merveilleux
Y’a
de l’air
Oui,
on l’avale le merveilleux, et puis
De
la joie, de l’amour.
Et
puis
De
l’étonnement.
Et
pourquoi de l’étonnement.
Parce
que c’est la première fois
Non,
chaque fois que l’on voit un bébé on est émerveillé.
Alors
pourquoi l’étonnement ?
Ça
nous étonne comme si l’on voyait quelque chose qui ne se peut pas.
Le
merveilleux c’est que ça ne puisse pas exister et que ça soit devant nous,
Un bébé, un amour, un arbre.
Pareillement incroyable, également incroyable
Une pierre n’est pas plus ou moins incroyable
qu’un arbre ou qu’un nuage, ou que le paysage en entier, cela n’existe pas
plus ou moins mais également, pareillement, librement, fraternellement.
Voilà, j’y suis arrivé « nous
sommes libres égaux et fraternels » même avec les pierres
Et d’habitude alors quand c’est "normal"
;
Et bien ça n’est pas vrai ça n’existe pas
le normal.
Il n’y a que le sacré mystère de l’existence
pour tout dans le monde.
Le normal c’est l’illusion des endormis et les
œuvres d’art sont là pour qu’on rencontre l’impossible, l’incroyable, le merveilleux.
Claude
Caillol
Vit
et travaille à Bordeaux.
EN
Three times a week for an hour
I have six students. The week after I have six others. With each new
group, before entering class
we sit on the grass and talk.
I ask them who I am
- An artist
If they know different kinds of artists?
- Painter, musician, actor, poet.
And what artists are expected?
What is expected of what artists do?
- Whether it is nice, that we like it.
We can expect more than that
- Whether it is beautiful, gorgeous, amazing, wonderful.
Yes that is what we should expect, to be amazing wonderful.
Get the wonderful
- Houaaaa, houaaa.
What will amaze you? What is the last thing that amazed you?
Baby cats, my Tati she had a baby, big caterpillar, flowers, volcano, fish, gifts.
And when you are in love aren’t you amazed?
Hahaha, yes
Let’s make the wonderful again
Houaaaa, houaaaaa.
What was there in the wonderful
There's air
Yes, we swallow the wonderful, and then
Joy, love.
and then
Astonishment.
And why astonishment.
Because this is the first time
No, every time we see a baby we are amazed.
So why the surprise?
It surprises us as if we see something that cannot be.
The wonderful is that it cannot exist and that it is before us,
A baby, a love, a tree.
Equally amazing, amazing also
A stone is not more or less amazing than a tree or a cloud, or the entire landscape, it does not exist more or less but also, equally, freely, fraternally.
Well, I got there "we are free equal and fraternal" even with stones
And then usually, when it is "normal";
Well it is not true there is no normal.
There is the sacred mystery of existence for everything in the world.
The normal is the illusion of people asleep and artworks are meant to have us meet the impossible, the incredible, the wonderful.
I ask them who I am
- An artist
If they know different kinds of artists?
- Painter, musician, actor, poet.
And what artists are expected?
What is expected of what artists do?
- Whether it is nice, that we like it.
We can expect more than that
- Whether it is beautiful, gorgeous, amazing, wonderful.
Yes that is what we should expect, to be amazing wonderful.
Get the wonderful
- Houaaaa, houaaa.
What will amaze you? What is the last thing that amazed you?
Baby cats, my Tati she had a baby, big caterpillar, flowers, volcano, fish, gifts.
And when you are in love aren’t you amazed?
Hahaha, yes
Let’s make the wonderful again
Houaaaa, houaaaaa.
What was there in the wonderful
There's air
Yes, we swallow the wonderful, and then
Joy, love.
and then
Astonishment.
And why astonishment.
Because this is the first time
No, every time we see a baby we are amazed.
So why the surprise?
It surprises us as if we see something that cannot be.
The wonderful is that it cannot exist and that it is before us,
A baby, a love, a tree.
Equally amazing, amazing also
A stone is not more or less amazing than a tree or a cloud, or the entire landscape, it does not exist more or less but also, equally, freely, fraternally.
Well, I got there "we are free equal and fraternal" even with stones
And then usually, when it is "normal";
Well it is not true there is no normal.
There is the sacred mystery of existence for everything in the world.
The normal is the illusion of people asleep and artworks are meant to have us meet the impossible, the incredible, the wonderful.
Claude Caillol
Lives and works Bordeaux, France.
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JUILLET 2014
JUILLET 2014
ZAAD est heureuse d’annoncer 6à9 ZAAD: Alice Raymond
FR EN
New Works New Works
Ouverture d’atelier de Alice Raymond An
opening studio of Alice Raymond’s
Jeudi 24 juillet de 18 à 21h Thursday,
July 24th, 6-9pm
Et sur RDV tout l'été And by appointment all summer
FR
Le jonglage des langues environnantes qui se mélangent dans la production plastique exprime les erreurs et les maladresses de traductions. Ces distorsions façonnent les territoires abstraits, conçus grâce à un langage codifié. Il interprète les connexions que j'explore entre formes, réflexion esthétique, et sémantique.
Ces peintures linguistiques sont réalisées avec des dons de peinture en bâtiment de San Francisco sur des toiles protection non tendues. Les œuvres peuvent alors être roulées comme des cartes ou repliées comme les toiles étaient originellement vendues.
Les
séries réalisées
dans le studio de San Francisco sont, comme l'ensemble du travail antérieur, lié au lieu de résidence,
et ici à la récente installation
en Californie. L'exploration
de ce nouveau territoire prend la
forme d’une cartographie
personnelle, témoignant de l'impact
que les lieux, les trajets spécifiques
et les changements de langue ont sur
la vie quotidienne.
Le jonglage des langues environnantes qui se mélangent dans la production plastique exprime les erreurs et les maladresses de traductions. Ces distorsions façonnent les territoires abstraits, conçus grâce à un langage codifié. Il interprète les connexions que j'explore entre formes, réflexion esthétique, et sémantique.
Ces peintures linguistiques sont réalisées avec des dons de peinture en bâtiment de San Francisco sur des toiles protection non tendues. Les œuvres peuvent alors être roulées comme des cartes ou repliées comme les toiles étaient originellement vendues.
Alice vit et
travaille à Bordeaux et San Francisco.
EN
The series created
in the San Francisco studio are -as the entire previous work- connected with the
location of residence, and here to the recent Californian set up. The
exploration of this new territory takes form as a personal mapping, presenting
the impact that places, specific paths and switch of languages have on the daily
life.
The struggle of
surrounding languages that mix up in the artworks expresses the mistakes and
awkwardness of translation. Those distortions shape abstract territories
designed thanks to a codified language. It interprets the connections that I
explore between forms, aesthetics and semantics.
Those linguistic paintings are made with
donated house paint from San Francisco on un-stretched drop cloth. The works
can then be rolled as maps or re-folded as the cloth was originally sold.
Alice Raymond lives and works in Bordeaux and San
Francisco.
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JUILLET 2014
JUILLET 2014
ZAAD est heureuse d’annoncer 6à9 ZAAD: Michael von Erlenbach
FR EN /
DE follows
Infiltration
une exposition de /an exhibition by Michael von Erlenbach
mercredi 16 juillet de 18 à 21h Wednesday, July 16th, 6-9pm
16 rue Beyssac, 33000 Bordeaux
La série d'images « infiltration » parle d'un monde dans un monde, d'un monde qui est invisible, mais dont les effets peuvent se faire sentir à chaque instant. L'infiltration
se manifeste sous forme d’objets et d’ustensiles,
une réminiscence des corps spatiaux
d’objets volants non identifiés venus
d'autres planètes, toujours dépourvues
de présence humaine.
Comme de petites unités de reconnaissance des forces spéciales militaires, l’infiltration se fait avec l'intention d’entrer dans une salle sans se faire détecter, pour effectuer une tâche et repartir inaperçu à bout de force.
Comme de petites unités de reconnaissance des forces spéciales militaires, l’infiltration se fait avec l'intention d’entrer dans une salle sans se faire détecter, pour effectuer une tâche et repartir inaperçu à bout de force.
Les images montrent ce processus. Ce qui est exactement infiltré et pour ou contre qui
le processus est dirigé reste ambigu. Les systèmes d'infiltration illustrés évitent de se battre jusqu'à l'accomplissement de leur tâche,
et demeurent invisibles. Ils sont exonérés de
leur camouflage uniquement dans ces
images.
La visibilité des systèmes est déterminée par la capacité des humains à s'adapter aux conditions
de vie afin de survivre,
et par la peur
sans nom qui survient quand il
s'agit de sortir de la situation
de sujétion, en d'autres termes, à faire le grand saut dans
l'inconnu.
CV
2014 // "Infiltration", Bordeaux
2014 // "Infiltration", Bordeaux
2013 // UTOPIA
Symposium à Lanzarote
2012 // Echange
artistique et de cooperation avec l’artiste suisse Patrick Germanier
2011 // Etablissement de l’organisation LAPAS
à Lanzarote
2008 // Creation de Art aspects art society
2006 // Etablissement de l’aktinstitut Berlin
2005 // Organisation et gestion de la VON ERLENBACH ART SCHOOL
2008 // Creation de Art aspects art society
2006 // Etablissement de l’aktinstitut Berlin
2005 // Organisation et gestion de la VON ERLENBACH ART SCHOOL
2005 // Design
artistique dans le domaine cinématographique et theatral: décors peints, copies
des images du Ludwigsburg baroque theater
1989-1998 // Etudes de sculpture, peinture, enseignement de l’art et design multi-media à l’Academy of Fine Arts de Stuttgart
1989-1998 // Etudes de sculpture, peinture, enseignement de l’art et design multi-media à l’Academy of Fine Arts de Stuttgart
1986 // Diplome de
viticulture au College et Institut de recherche en viniculture, Weinsberg
Né
à // Heilbronn/ Baden-Württemberg
Vit
et travaille à Berlin
EN
The series of
images "infiltration" tells of a world within a world, of a world
that is invisible, but their effects can be felt every single minute. The form
of the infiltration takes place through objects and utensils, reminiscent of
space bodies of unidentified flying objects from other planets and always
without any people.
Like small military reconnaissance units and special forces, it will be infiltrated with the intention to enter a room, undetected, to perform a task and then move back unnoticed discontinued.
The pictures
show this process. It remains unclear what exactly is infiltrated. It is
ambiguous for or against who this process is. The illustrated infiltration
systems avoid fighting until the fulfillment of their order, they remain
invisible. Only in these pictures they are exempt of their camouflage.
The systems are determined to be visible by the ability of humans to adapt to life circumstances in order to survive, and the nameless fear that comes up when it develops to a situation of submission break, in other words, to take the leap into the unknown.
Curriculum
2014 //"Infiltration", Bordeaux
2014 //"Infiltration", Bordeaux
2013 //UTOPIA Symposium on Lanzarote
2012 //Artistic exchange and cooperation with the Swiss artist Patrick Germanier
2011 //Establishment of the organization LAPAS in Lanzarote
2012 //Artistic exchange and cooperation with the Swiss artist Patrick Germanier
2011 //Establishment of the organization LAPAS in Lanzarote
2008 //Creation of the Art aspects art society
2006 //Establishment of the aktinstitut Berlin
2005 //Set up and manage the VON ERLENBACH ART SCHOOL
2006 //Establishment of the aktinstitut Berlin
2005 //Set up and manage the VON ERLENBACH ART SCHOOL
2005 //Implementation of artistic designs in the
field of film and theater: stage paintings, copies of images of the Ludwigsburg
baroque theater
1989-98//Completion of the study of sculpture, painting, art education and cross-media design at the Academy of Fine Arts Stuttgart
1986 //Degree in viticulture at the College and Research Institute in viniculture, Weinsberg
1989-98//Completion of the study of sculpture, painting, art education and cross-media design at the Academy of Fine Arts Stuttgart
1986 //Degree in viticulture at the College and Research Institute in viniculture, Weinsberg
Born // Heilbronn / Baden-Württemberg
Lives and works in Berlin
DE
Die Bilderserie Infiltration erzählt von einer Welt in der Welt, von einer Welt, die unsichtbar bleibt, deren Auswirkungen aber in jeder Minute spürbar werden. Die Form der Infiltration findet durch Objekte und Gerätschaften statt, die an Raumkörper unbekannter Flugobjekte aus einem andern Stern erinnern und immer Menschenleer sind.
Die Bilderserie Infiltration erzählt von einer Welt in der Welt, von einer Welt, die unsichtbar bleibt, deren Auswirkungen aber in jeder Minute spürbar werden. Die Form der Infiltration findet durch Objekte und Gerätschaften statt, die an Raumkörper unbekannter Flugobjekte aus einem andern Stern erinnern und immer Menschenleer sind.
Wie kleine militärischer Aufklärungs- und Spezialeinheiten wird mit der Absicht infiltriert, unentdeckt einen Raum zu betreten, um einen Auftrag durchzuführen und sich anschließend wieder unbemerkt abzusetzen.
Die Bilder zeigen diesen Vorgang, wobei
es weiterhin unklar bleibt, was genau infiltriert wird und für oder gegen wen
dieser Vorgang bestimmt ist. Die dargestellten Infiltrationssysteme meiden
Kampfhandlungen bis zur Erfüllung des Auftrages, sie bleiben unsichtbar und
sind nur in diesen Bildern von ihrer Tarnung befreit.
Sichtbar werden die Systeme durch die Fähigkeit des Menschen, sich an Lebensumstände anzupassen, um überleben zu können, und durch die namenlosen Angst, die aufkommt, wenn es gilt, aus der Situation der Unterwerfung auszubrechen, mit anderen Worten, den Sprung ins Ungewisse zu wagen.
Curriculum
2014 //"Infiltration", Bordeaux
2013 //UTOPIA Symposium auf Lanzarote
2012 //Künstlerischer Austausch und Zusammenarbeit mit dem Schweizer Künstler Patrick Germanier
2012 //Künstlerischer Austausch und Zusammenarbeit mit dem Schweizer Künstler Patrick Germanier
2011 //Gründung der Organisation LAPAS auf
Lanzarote.
2008 //Gründung des art aspects Kunstverein
2006 //Gründung des aktinstitut berlin
2005 //Gründung und Leitung der VON ERLENBACH KUNSTSCHULE
2008 //Gründung des art aspects Kunstverein
2006 //Gründung des aktinstitut berlin
2005 //Gründung und Leitung der VON ERLENBACH KUNSTSCHULE
2005 //Umsetzung künstlerischer Entwürfe im Bereich
Film- und Theaterbau : Bühnenmalereien,
Kopien barocker Bühnenbilder des Ludwigsburger Barocktheaters
1989-98
//Abschluss des Studium der Bildhauerei, Malerei, Kunsterziehung und intermediales
Gestalten an der Staatlichen Akademie der Bildenden Künste Stuttgart
1986 //Abschluss als Weinbautechniker an der
Staatlichen Lehr- und Versuchsanstalt in Weinsberg
Geburtsort // Heilbronn/ Baden-Württemberg
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JUILLET 2014
JUILLET 2014
6à9 ZAAD présente
Impressions in June 2014
Une exposition de Jacqueline Soir
Mardi 1er juillet 2014 de 18 à 21h
English
6à9 ZAAD presents
Impressions in June 2014
An
exhibition by Jacqueline Soir
Monday, July 1st 2014, 6 to 9pm
Fr
Impressions en Juin est une compilation de travaux sur papier de petit format par l'artiste Jacqueline Soir.
En tant que photographe, Soir prélève des instants et les transcrit sur papier, au moyen du collage, du dessin et de l'aquarelle.
Les œuvres prennent naissance dans son expérience personnelle de la France, principalement de Paris, au cours de ces dernières semaines.
"Chaque pièce fait directement référence à quelquechose qui a attiré mon regard ou quelquechose entendu en passant. Ce sont mes souvenirs, mes impressions du moment".
Jacqueline Soir est née au Nicaragua, vit et travaille à Miami, Floride.
En
Impressions in June 2014
an exhibition by Jacqueline Soir
Tuesday, June 1st, 6-9pm
"Impressions in June" is a compilation of small works on paper made by Miami based artist, Jacqueline Soir.
As a photographer, Soir is capturing the moment and transferring it on paper, through collage, drawing and watercolor.
The works are based on her personal experience of France, mainly Paris, thanks to a generous trip given to her and her graduating BFA class.
"Each piece is a direct reference to something that caught my eye or something I heard in passing. These are my memories , my impressions of those moments".
Jacqueline Soir was born in Nicaragua, lives and works in Miami, Florida.
Fr
Impressions en Juin est une compilation de travaux sur papier de petit format par l'artiste Jacqueline Soir.
En tant que photographe, Soir prélève des instants et les transcrit sur papier, au moyen du collage, du dessin et de l'aquarelle.
Les œuvres prennent naissance dans son expérience personnelle de la France, principalement de Paris, au cours de ces dernières semaines.
"Chaque pièce fait directement référence à quelquechose qui a attiré mon regard ou quelquechose entendu en passant. Ce sont mes souvenirs, mes impressions du moment".
Jacqueline Soir est née au Nicaragua, vit et travaille à Miami, Floride.
En
Impressions in June 2014
an exhibition by Jacqueline Soir
Tuesday, June 1st, 6-9pm
"Impressions in June" is a compilation of small works on paper made by Miami based artist, Jacqueline Soir.
As a photographer, Soir is capturing the moment and transferring it on paper, through collage, drawing and watercolor.
The works are based on her personal experience of France, mainly Paris, thanks to a generous trip given to her and her graduating BFA class.
"Each piece is a direct reference to something that caught my eye or something I heard in passing. These are my memories , my impressions of those moments".
Jacqueline Soir was born in Nicaragua, lives and works in Miami, Florida.
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AOÛT 2013
6à9 ZAAD présente
Villes
Une exposition de Pascal Ruetsch
Samedi 10 août 2013 de 18 à 21h
Pascal Ruetsch
puise de la matière graphique dans les thématiques de la ville.
Architectures, plans urbains, lignes et foisonnements de traits, ses dessins de
villes imaginaires sont aussi des constructions et des jeux graphiques.
Inspirées du
réel, parcourues de rues, de boulevards, de voies ferrées, les villes dessinées
ressemblent étrangement à des lieux que l'on croit connaître. Qu'ils soient de
styles anciens ou très contemporains, les monuments et les architectures qui
les composent sont toujours inventés. La vue du ciel, entre vue en plan et en
trois dimensions facilite la lecture des dessins et permet d'en apprécier les
détails. Semblable à une visite réelle on se perd dans les méandres des rues.
villesimaginaires.fr
villesimaginaires.fr
English
6à9 ZAAD presents
Cities
An
exhibition by Pascal Ruetsch
Saturday, August
10th 2013, 6 to 9pm
Pascal
Ruetsch draws graphic material in the thematic of the city. Architectures,
urban plans, lines and abundance of strokes, his drawings of imaginary cities
are also constructions and graphical games.
Inspired
by reality, covered of streets, boulevards, railways, those drawn cities are
strangely similar to places that we think we know. Whether very old or in contemporary
styles, monuments and architectures that make up are always invented. The view
of the sky, between plan view and three-dimensional drawings easier to read and
allows to appreciate the details. Similar to a real visit we get lost in the
maze of streets.
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JUILLET 2013
JUILLET 2013
6à9 ZAAD présente
Boucles
Une exposition de Sébastien Chevalier
Dimanche 14 juillet 2013 de 18 à 21h + showcase Petit Vodo à 20h
Depuis
le début des années 2000, Sébastien Chevalier travaille autour des
schèmes mentaux graphiques issus du monde de l’enfance. La maison, la
boucle, la robe sont autant de formes génériques faussement simples et
répétables à l’infini, définissant un vocabulaire plastique sans cesse
renouvelé et s’accordant comme des notes de musique à la question de la
couleur et de la matière picturale. Depuis plus de vingt ans, Sébastien
remplit des carnets où les écrits se mêlent aux dessins, jetés,
spontanés, parfois relevés à l’aquarelle ou “graissée” d’huile ou de
cire. Une tradition qu’il garde de son voyage initiatique à Florence.
Sébastien Chevalier est également auteur compositeur interprète sous le pseudonyme Petit Vodo.
English
6à9 ZAAD presents
Boucles
an exhibition by Sébastien Chevalier
Sunday, July 14th, 6 to 9pm
+ showcase Petit Vodo 8pm
Since the early 2000s, Sébastien Chevalier is working around mental schemas graphics from the world of childhood. The house, the loop, the dress are all deceptively simple and repeatable generic forms at infinity, defining a visual vocabulary constantly renewed and agreeing as musical notes to the issue of color and pictorial material.
For over twenty years, Sebastien fils notebooks where written mingle with throws, spontaneous, sometimes highlighted watercolor or "greased" with oil or wax. A tradition that he keeps of his initiatory trip to Florence.
For over twenty years, Sebastien fils notebooks where written mingle with throws, spontaneous, sometimes highlighted watercolor or "greased" with oil or wax. A tradition that he keeps of his initiatory trip to Florence.
Sébastian Chevalier is also singer and songwriter under the pseudonym Petit Vodo.
http://vodo.free.fr
My Best Friend est une présentation d’une absence, souvent un manque, en une série d’images issue de la pratique collective passive développée dans les recherches récentes.
Formulant une demande collective sous forme d’une invitation à un « événement » sur Facebook, des portraits d’amis sont collectés. Construite à l’origine comme une demande spécifique et personnelle, leur nombre et leur origine créent un ensemble peu contrôlable. Les pertes successives générées par les transferts et les reformatages des images créent un flou distant, anonyme et impersonnel qui paradoxalement permet l’identification. Du flou naît l’image. De l’imprécision naît la représentation la plus juste, parce que la plus large, composite des traits qui sont les vôtres.
Comment s’y reconnaître ? Peut-on y reconnaître quelqu’un ? Le –déjà illustre- inconnu, puisque né de la rencontre précise, descriptible dans son espace, son temps et sa qualité, avec un autre semblable, questionne peu à peu sa potentialité à devenir un double, reflet dans le miroir du visage intérieur.
L’image révélée est elle-même dérivée en variations chromatiques et formelles, tâtonnant aux entournures de références et de questionnements sur la valeur portée à la transposition de l’absence en une représentation figurale.
Une quarantaine d’amis ont ainsi passivement participé à ce travail collectif, le nourrissant par leur adhésion au projet, de manière anticipée et aveugle, par pure gentillesse, confiance et un peu de curiosité.
Hasard contrôlé
an exhibition by Steven Riollet
His aesthetic approach is about contemporary forms of urban life and temporality, involving issues related to loss, fraud, the act of melting and mixing.
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JUIN 2013
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MARS 2013
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JUILLET 2013
JUILLET 2013
6à9 ZAAD présente
My Best Friend is at Home
Une exposition de Alice Raymond
Une exposition de Alice Raymond
Samedi 6 juillet 2013 de 18 à 21h
My Best Friend est une présentation d’une absence, souvent un manque, en une série d’images issue de la pratique collective passive développée dans les recherches récentes.
Formulant une demande collective sous forme d’une invitation à un « événement » sur Facebook, des portraits d’amis sont collectés. Construite à l’origine comme une demande spécifique et personnelle, leur nombre et leur origine créent un ensemble peu contrôlable. Les pertes successives générées par les transferts et les reformatages des images créent un flou distant, anonyme et impersonnel qui paradoxalement permet l’identification. Du flou naît l’image. De l’imprécision naît la représentation la plus juste, parce que la plus large, composite des traits qui sont les vôtres.
Comment s’y reconnaître ? Peut-on y reconnaître quelqu’un ? Le –déjà illustre- inconnu, puisque né de la rencontre précise, descriptible dans son espace, son temps et sa qualité, avec un autre semblable, questionne peu à peu sa potentialité à devenir un double, reflet dans le miroir du visage intérieur.
L’image révélée est elle-même dérivée en variations chromatiques et formelles, tâtonnant aux entournures de références et de questionnements sur la valeur portée à la transposition de l’absence en une représentation figurale.
Une quarantaine d’amis ont ainsi passivement participé à ce travail collectif, le nourrissant par leur adhésion au projet, de manière anticipée et aveugle, par pure gentillesse, confiance et un peu de curiosité.
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JUIN 2013
Sa démarche esthétique concerne les formes contemporaines de l'urbain et de sa temporalité, mettant en jeu les questions liées à la disparition, le détournement, la fusion et le mélange.
JUIN 2013
6à9 ZAAD présente
Hasard contrôlé
Une exposition de Steven Riollet
Samedi 22 juin 2013 de 18 à 21h
English
6à9 ZAAD presents
an exhibition by Steven Riollet
His aesthetic approach is about contemporary forms of urban life and temporality, involving issues related to loss, fraud, the act of melting and mixing.
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JUIN 2013
6à9 ZAAD présente
Hydro
Une exposition de AR
Samedi 15 juin 2013 de 18 à 21h
AR est un duo de plasticiens qui travaille de manière hasardeuse.
AR est un duo de plasticiens qui travaille de manière hasardeuse.
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MARS 2013
L'association ZAAD est heureuse d'annoncer
le vernissage de son premier artiste en résidence,
Passer par le temps
English
le vernissage de son premier artiste en résidence,
Passer par le temps
Une exposition de Kengo Minami
Samedi 16 mars 2013 à 19h
Kengo Minami est né en 1983 à Fukuoka au Japon
Il est diplômé de l'université d'art et de design du Tôhoku, Yamagata (Japon) dont il a reçu le prix 2006.
English
ZAAD presents
the opening of its first artist in residence,
Passer par le temps
the opening of its first artist in residence,
Passer par le temps
an exhibition by Kengo Minami
Saturday March 16th, 2013 at 7pm
Kengo Minami was born in 1983 in Fukuoka, Japan.
He graduated at University of art and design of Tôhoku, Yamagata (Japan) with the 2006 Price.
http:// bluecosmos330.web.fc2 .com
http://